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Lac Blanc (2643m)

Les Cerces

Savoie

 

Latitude  45° 03' 20'' N
Longitude 6° 27' 25'' E
Altitude 2 643 m

 

Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr



  Itinéraires d'accès au lac

RANDONNÉE SUR SENTIER BALISÉ

      Le lac Blanc des Cerces (2 643 m) se situe dans le massif des Cerces, en Savoie, à 2 km en projection horizontale"Distance en projection sur une carte (plan)
=
Distance à vol d'oiseau."
au SUD-EST du Grand Galibier (3 228 m) (carte n°1). Le départ de la randonnée peut se faire depuis au moins deux endroits, où l'accès routier est possible :

N°1 Départ : parking de Plan Lachat (1 962 m) (Savoie) au SUD de Valloire (carte n°2). (Randonnée N°1)
Si on vient de Savoie, l'accès en voiture passe par Valloire (carte n°3) et remonte la route D 902 en direction du col du Galibier (2 642 m), jusqu'au parking de Plan Lachat (1 962 m), au bord de la D 902.
Si on arrive par les Hautes-Alpes, il faut emprunter la D 902 depuis le col du Lautaret (2 057 m), monter au col du Galibier (2 642 m) et descendre jusqu'au parking de Plan Lachat (1 962 m), au bord de la D 902 (carte n°4).
L'accès routier au Plan Lachat peut se faire depuis Valloire (accès routier n°1), le col du Lautaret (accès routier n°2), Albertville (accès routier n°3), Modane (accès routier n°4), Grenoble (accès routier n°5) ou Briançon (accès routier n°6), par exemple.

N°2 Départ : parking du Pont de l'Alpe (1 710 m) sur la D 1791 (carte n°4), entre le col du Lautaret (accès routier n°7) et Monêtier-les-Bains (accès routier n°8). (Randonnée N°2)
On peut se rendre en voiture au Pont de l'Alpe depuis Briançon (accès routier n°9), Gap (accès routier n°10) ou Grenoble (accès routier n°11), par exemple.

      Voici les itinéraires de randonnée :

  N°1 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©
Une fois arrivé au
col de la Ponsonnière (2 613 m), dans l'itinéraire décrit ci-dessus, NE PAS PRENDRE le sentier de GAUCHE qui descend au lac de la Ponsonnière (2 565 m), mais suivre le sentier sur la DROITE qui conduit, en 15 min, au lac Blanc (2 643 m).

  N°2 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©
 
Le lac Blanc est atteint au cours de ce long itinéraire décrit ci-dessus.

 

  Contexte géologique du lac

      Le lac Blanc des Cerces (2 643 m) se situe dans un environnement immédiat de dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3), (carbonate de magnésium, MgCO3), …" du Trias"Du latin « trias », « nombre de trois », car constitué de trois unités stratigraphiques distinctes (les Trias inférieur, moyen et supérieur), le Trias (entre -252 et -201 millions d'années) est la première Période du Mésozoïque ou Ère secondaire." terminal (Rhétien [entre -208,5 et -201 Ma]). Ces roches forment des dalles claires de fond de vallon à l'OUEST du lac : elles ont l’aspect typique de roches rabotées par un glacier, dont elles constituaient le fond d’auge"Une vallée en auge ou vallée en U est une vallée glaciaire typique des régions de montagnes. Elle résulte du travail d'écoulement en bloc du glacier et dépend de la nature des roches rencontrées.
Si les roches sont dures, le glacier remplira tout le fond de la vallée et l'érodera par surcreusement : il laissera après son passage une vallée en U caractéristique.
Si les roches sont plus tendres, le glacier modèlera une vallée en V."
. Ce glacier descendait du col Termier et la couleur claire des dalles dolomitiques indique que sa disparition est récente. (1)

      Le lac Blanc des Cerces est typiquement un lac de surcreusement glaciaire"Le creusement érosif dû à la glace laisse une cavité plus profonde que s’il avait été causé par de l’eau liquide : c'est la raison pour laquelle on parle de surcreusement"., barré par un verrou"Un verrou est un ressaut qui marque l'endroit où le glacier a moins profondément affouillé qu'à l'aval et à l'amont. Souvent constitué de roches plus dures, il forme ainsi un point haut où la vallée est plus étroite : c'est un barrage." rocheux.
Lorsqu’un verrou, constitué par des roches plus dures, plus résistantes à l’abrasion, tend à bloquer l’écoulement d’un glacier, la glace qui continue à s’accumuler en amont, creuse, affouille"Du latin «fodiculare», fouir, creuser, affouiller signifie attaquer en creusant et comme en fouillant le sol ou la base d'une roche, en parlant de l'action de l'eau et/ou de la glace.", érode dans les roches les plus tendres. Les débris rocheux dus à l’érosion sont évacués en remontant la pente dans le sens de l’écoulement du glacier. (Le creusement érosif dû à la glace laisse une cavité plus profonde [on parle de surcreusement] que s’il avait été causé par de l’eau liquide). Une dépression se forme dans la zone SUR-creusée : on la nomme OMBILIC GLACIAIRE"L'ombilic pour la zone déprimée, surcreusée, situé en amont du verrou glaciaire. Après le retrait du glacier, cette dépression est généralement occupée par un lac.". Le barrage naturel, qui est à l’origine de la formation de cet ombilic, porte quant à lui le nom de VERROU GLACIAIRE"Un verrou est un ressaut qui marque l'endroit où le glacier a moins profondément affouillé qu'à l'aval et à l'amont. Souvent constitué de roches plus dures, il forme ainsi un point haut où la vallée est plus étroite : c'est un barrage.". Lorsque le glacier fond, un lac occupe l’ombilic. Dans le cas du lac Blanc, l’ombilic et le verrou sont tous deux constitués de dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3), (carbonate de magnésium, MgCO3), …".
 

  N°1 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

 

  Contexte écologique du lac

      Localisé dans le NORD du département des Hautes-Alpes, à l'EST du Col du Lautaret et au NORD du village de Monêtier-les-Bains, le site naturel qui héberge le lac Blanc des Cerces (2 643 m), est situé dans la zone biogéographique intra-alpine, à la transition entre Alpes du NORD et Alpes du SUD. Cet espace naturel est inclus dans les étages de végétation subalpin, alpin et nival, et culmine à 3 097 m à la pointe des Cerces. Le paysage"Un paysage est une mosaïque d’écosystèmes reliés les uns aux autres, échangeant de l’énergie, de la matière et des organismes." végétal est formée par :
- des prairies subalpines,
- des pelouses alpines sur calcaire ou sur substrat acide décalcifié,
- des formations des combes à neige à sous-arbrisseaux nains,
- des rocailles et des pelouses pionnières des débris rocheux ou des dalles calcaires,
- des associations végétales des éboulis et milieux rocheux,
- des sources,
- des ruisselets,
- des zones humides,
- des bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." arctico-alpins,
- des habitats lacustres ou de milieux post-glaciaires des vallons froids d'altitude…

      Les trois habitats déterminants que compte le site sont des marécages :
- les bas-marais cryophiles d'altitude des bords de sources et suintements à Laîche des frimas (Carex frigida),
- les bas-marais pionniers arctico-alpins,
- les ceintures péri-lacustres des lacs froids et mares d'altitude à Linaigrette de Scheuchzer (Eriophorum scheuchzeri).

      Onze autres habitats remarquables sont également présents :
- les pelouses silicicoles"Se dit d'une plante qui aime les sols siliceux, riches en silice, acides et qui n'aime pas les sols calcaires, riches en calcium, alcalin. On dit aussi qu'une telle plante est acidophile ou calcifuge." alpines et subalpines à Séslérie bleutée (Sesleria caerulea) et à Laîche toujours verte (Carex sempervirens), installées sur des sols de surface,
- les landes épineuses oro-méditerranéennes à Astragale toujours verte (Astragalus sempervirens),
- les mégaphorbiaies"Une mégaphorbiaie (du grec mega, grand et phorbē, paturage) est une formation végétale luxuriante, constituée de grandes herbes, de 1,5 m à plus de 2 m de hauteur, se développant sur des sols riches, frais, non-acides et humides." montagnardes et subalpines, formations opulentes de hautes herbes des combes humides et fraîches,
- les prairies de fauche d'altitude,
- les pinèdes de Pin à crochets (Pinus uncinata),
- les saulaies arctico-alpines des bas-marais et bords de ruisseaux à Saule arbrisseau (Salix foetida),
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." acides,
- les éboulis calcaires alpins,
- les formations végétales des rochers et falaises calcaires,
- la végétation des rochers et falaises siliceux.

      Parmi la Flore, dix-huit espèces sont déterminantes.
Six sont protégées au niveau national :
- l'Androsace des Alpes (Androsace alpina),
- l'Androsace de Suisse (Androsace helvetica),
- l'Androsace pubescente (Androsace pubescens),
- la Laîche bicolore (Carex bicolor), rare Cypéracée des marécages arctico-alpins froids d'altitude,
- le Saxifrage fausse-mousse (Saxifraga muscoides).
Dix espèces sont protégées en région Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- l'Armoise septentrionale (Artemisia campestris subsp. borealis),
- la Petite utriculaire (Utricularia minor), petite plante carnivore aquatique des mares de tourbières acides,
- la Tozzie des Alpes (Tozzia alpina),
- la Laîche fimbriée (Carex fimbriata),
- le Jonc arctique (Juncus arcticus), plante arctico-alpine rare des marécages et bords de ruisselets,
- le Pâturin vert glauque (Poa glauca),
- la Potentille à divisions nombreuses (Potentilla multifida),
- la Potentille blanche (Potentilla prostrata subsp. floccosa),
- le Saxifrage à deux fleurs (Saxifraga biflora),
- le Saxifrage fausse diapensie (Saxifraga diapensioides).
Trois espèces n'ont pas de statut de protection :
- l'Armoise noirâtre (Artemisia atrata),
- le Silène de Suède (Viscaria alpina),
- la Linaigrette vaginée (Eriophorum vaginatum), très rare Cypéracée des tourbières acides.

      Par ailleurs, cet espace naturel comprend quatre espèces végétales remarquables :
- la Bérardie laineuse (Berardia subacaulis), Astéracée archaïque protégée au niveau national, espèce endémique"L'endémisme, du grec éndêmos, indigène, caractérise la présence naturelle d'un groupe biologique exclusivement dans une région géographique délimitée." des Alpes sud-occidentales typique des éboulis calcaires à éléments fins,
- le Saule pubescent (Salix laggeri), arbuste endémique des Alpes qui pousse dans les alluvions humides et sur les berges de torrents, où il forme des fourrés ripicoles"Du latin ripa, « rive », et colo, « habiter », ripicole qualifie les végétaux qui vivent en bordure des eaux courantes." denses, espèce protégée en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
- le Pissenlit à ligules en capuchon (Taraxacum cucullatum),
- le Génépi noir (Artemisia genipi).

      Parmi les Mammifères de ce site se trouvent :
- le Bouquetin des Alpes (Capra ibex), Ongulé déterminant dont les populations locales sont issues de réintroductions,
- le Mulot alpestre (Apodemus alpicola), espèce déterminante,
- le Lièvre variable (Lepus timidus), Lagomorphe remarquable, relique de l'époque glaciaire, fréquentant des milieux assez variés (alpages, éboulis, landes, forêts, pelouses, champs, cultures, friches) entre 1 200 à 3 100 m d'altitude.

      Parmi les Oiseaux nicheurs de ce site se trouvent :
- le Faucon pèlerin (Falco peregrinus) Falconidé déterminant dont le site abrite probablement l'aire de nidification la plus haute de France,
-  l'Aigle royal (Aquila chrysaetos),
- la Perdrix bartavelle (Alectoris graeca), Galliforme méridional de montagne recherchant les versants ouverts et ensoleillés avec des barres rocheuses,
- la Caille des blés (Coturnix coturnix),
- le Tétras lyre (Tetrao tetrix), Galliforme remarquable, emblématique des Alpes,
- le Lagopède alpin (Lagopus mutus), Galliforme d'origine arctique, relique de l'époque glaciaire dans les Alpes, où il occupe les reliefs de croupes et de crêtes, fréquemment balayés par le vent (reliefs qui de ce fait sont à la fois déneigés [l'animal y trouve sa nourriture] et enneigés [l'animal peut s'y enfouir pour se protéger]),
- le Pic noir (Dryocopus martius),
- le Cincle plongeur (Cinclus cinclus),
- le Monticole de roche (Monticola saxatilis),
- le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria), espèce paléomontagnarde remarquable et relativement rare, recherchant les gorges et escarpements rocheux,
- la Pie grièche écorcheur (Lanius collurio),
- le Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax), peu fréquent, inféodé aux alpages (où il se nourrit) situés à proximité de falaises (où il niche),
- le Tarin des aulnes (Carduelis spinus),
- le Venturon montagnard (Carduelis citrinella), nicheur localisé des forêts d'altitude,
- la Niverolle alpine (Montifringilla nivalis), Passereau paléomontagnard remarquable, caractéristique des pelouses avec escarpements rocheux des étages alpin et subnival des massifs montagneux les plus élevés,
- le Bruant fou (Emberiza cia).

      Les Reptiles sont représentés par le Lézard vivipare (Zootoca vivipara), espèce remarquable, typiquement nord eurasiatique, relique de l'époque glaciaire, en limite sud de son aire de répartition dans les Alpes, liée aux pelouses, prairies et landes humides, tourbières et bords de ruisseaux.

      Les Poissons dulcicoles"Du latin dulcis, « doux », et colere « habiter », « Qui habite en eau douce », dulcicole désigne un organisme qui vit en eau douce." (d'eau douce) sont représentés par l'Omble chevalier (Salvelinus alpinus), espèce remarquable, sensible à la pollution, autochtone des lacs Léman et du Bourget, introduite à la fin du XIXème siècle dans certains lacs d'altitude du Haut Dauphiné, typique des lacs profonds et froids aux eaux propres bien oxygénées et aux fonds graveleux.

      La faune entomologique d'intérêt patrimonial est représentée par des Lépidoptères Rhopalocères (Papillons de jour) :
- l'Azuré du Serpolet (Maculinea arion), espèce remarquable et protégée au niveau européen, inféodée aux bois clairs et ensoleillés, aux pelouses et aux friches sèches avec présence de ses plantes hôtes, des Serpolets (pour sa chenille) et de sa principale fourmi hôte, Myrmica sabuleti (pour sa larve), jusqu'à 2400 m d'altitude,
- l'Apollon (Parnassius apollo), espèce remarquable d'affinité montagnarde, protégée au niveau européen, peuplant les rocailles, pelouses et éboulis à Crassulacées et Saxifragacées entre 500 et 2 500 m d'altitude,
- le Petit Apollon (Parnassius corybas sacerdos), espèce remarquable et protégée en France, des bords des torrents et autres zones humides des étages subalpin et alpin, dont la chenille est inféodée au Saxifrage faux-aïzoon (Saxifraga aizoides).

(En savoir plus).

      Inventaire de la faune et de la flore: INPN
 

  N°1 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

 

 

Photo n°201907033
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac Blanc (2643m).
Vue direction OUEST sur :

- le Roc Termier (3078m), à gauche,
- le Sommet EST du Grand Galibier (3219m), à droite.
 

Les dalles claires de dolomies, au-dessus du lac, ont l’aspect typique de roches rabotées par un glacier, dont elles constituaient le fond d’auge. La couleur claire de ces dalles indique que la disparition du glacier est récente.
 

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907032
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac Blanc (2643m).
Vue direction OUEST-NORD-OUEST sur :

- le Sommet EST du Grand Galibier (3219m), au centre au fond,
- le point 2986m, à droite.
 

Les dalles claires de dolomies, au-dessus du lac, ont l’aspect typique de roches rabotées par un glacier, dont elles constituaient le fond d’auge. La couleur claire de ces dalles indique que la disparition du glacier est récente.
 

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907034
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac Blanc (2643m).
Vue direction NORD sur :

- le point 2760m, au dessus du lac,
- la Pointe de la Fourche (2838m), sur la droite au loin,
- la Pointe les Blanchets (2953m), à droite au loin.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907035
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac Blanc (2643m).
Vue direction NORD-NORD-EST sur :

- le point 2760m, au dessus du lac, à gauche,
- la Pointe les Blanchets (2953m), au centre,
- le Rocher de la Sauma (3073m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907036
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac Blanc (2643m).
Vue direction NORD-EST sur :

- le point 2986m, à gauche,
- le point 2760m, au dessus du lac, au centre,
- la Pointe de la Fourche (2838m), à droite au loin.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907037
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac Blanc (2643m).
Vue direction NORD-EST sur :

- le point 2760m, au dessus du lac, à gauche,
- la Pointe de la Fourche (2838m), au centre droit au loin,
- la Pointe les Blanchets (2953m), sur la droite au loin.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907038
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

201907038Lac Blanc (2643m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST sur :

- le Sommet EST du Grand Galibier (3219m), à gauche,
- le point 2986m, au centre,
- le point 2760m, au centre,
- les Pointes d’Orient (2942m), à droite au loin,
- la Crête de Lacha (2950m), à droite au loin.
 

Les dalles claires de dolomies, au-dessus du lac, ont l’aspect typique de roches rabotées par un glacier, dont elles constituaient le fond d’auge. La couleur claire de ces dalles indique que la disparition du glacier est récente.
 

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907039
Lac Blanc (2643m) (Cerces, Savoie)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac Blanc (2643m).
Vue direction OUEST-NORD-OUEST sur :

- le Sommet EST du Grand Galibier (3219m), au centre au fond,
- le point 2986m, à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

 

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