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Lac des Cordes (2446m)

Briançonnais

Hautes-Alpes

 

Latitude  44° 50' 42'' N
Longitude 6° 47' 22'' E
Altitude 2 446 m

Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr



 

Itinéraires d'accès au lac

ITINÉRAIRE BALISÉ, PASSAGE ÉQUIPÉ D'UN CABLE

      Le lac des Cordes (2 446 m) se situe sur le versant de la rive gauche du torrent de la Cerveyrette, à l'EST du village de Cervières et au NORD du Pic de Rochebrune (3 320 m) (Briançonnais, Hautes-Alpes). (carte)

      L'accès routier passe par Cervières (carte), puis remonte la vallée de la Cerveyrette par la D89T jusqu'à atteindre le parking du hameau Le Bourgea (accès routier n°1).

      On peut se rendre en voiture au hameau Le Bourgea via Cervières depuis Briançon (accès routier n°2) ou Gap (accès routier n°3), par exemple.

      Voici les itinéraires de randonnée :

  N°1 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©
S'arrêter au lac sur cet itinéraire.

  N°2 d’après le site communautaire Bivouak.net www.bivouak.net, Copyright ©

 

  Contexte géologique du lac

      Le lac des Cordes (2 446 m) se situe dans un vallon suspendu au-dessus de la vallée de la Cerveyrette. Ce vallon a été creusé dans un substrat carbonaté de dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …" et de calcaires"Du latin « calcarius », calcaire, chaux, les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3." dolomitiques"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …", roches à l'origine des reliefs ruiniformes de ce lieu (2). Ces roches sédimentaires reposent sur des calcschistes"Schiste métamorphique calcaire, où la calcite CaCO3 est associée à du mica. Avant le métamorphisme, c'était un mélange de calcaire et d'argile." et de schistes lustrés"Les schistes lustrés se sont formés à partir de sédiments calcaires argileux, non-purs. Déposés au fond de l’océan, ces sédiments ont subi un métamorphisme et comme ils sont riches en paillettes de mica, ils présentent un aspect lustré très caractéristique.
Les schistes lustrés sont d’anciennes formations de type flysch calcaire plus ou moins gréseux déposées sur la marge distale et au pied de la marge européenne, dans le domaine de la transition continent-océan et sur la lithosphère océanique (futures ophiolites). Ces roches ont subi le métamorphisme alpin HP-BT (Haute Pression - Basse Température) (faciès des schistes bleus) vers -60 Ma puis ont été rétromorphosés (rétrométamorphisme) dans le faciès des schistes verts (T<300°C) vers - 39 et -31 Ma.
(RENARD M, LAGABRIELLE Y, MARTIN E, RAFÉLIS M (2018) ; Éléments de Géologie, 16ème édition du Pomerol, Éditions Dunod pp431-439, 601, 605)."
. Il y a ainsi deux couches de roches : dolomies et calcaires en couche externe, calcschistes et de schistes lustrés en couche interne. (4)

      Les sédiments qui ont donné naissance aux dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …" et aux calcaires"Du latin « calcarius », calcaire, chaux, les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3." se sont déposés sur le fond d'un océan, au tout début de sa genèse, lorsque celui-ci "s'étirait" et "se creusait", il y a 250 à 200 millions d'années. Ces roches se sont formés par subsidence"La subsidence (latin subsidere, s'enfoncer) est l'abaissement de la croûte terrestre résultant d'un étirement-amincissement de cette dernière. Elle entraîne un dépôt progressif de sédiments sous une profondeur d'eau constante." dans des eaux dont la profondeur n'excédait pas quelques mètres, sur la marge continentale passive"Une marge continentale est une bordure immergée d'un continent. Sorte de bord de mer, en somme. Elle est constituée de lithosphère continentale en contact avec de la lithosphère océanique. On distingue les marges continentales passives dues à une rupture de la lithosphère continentale par arrachement (processus de rifting et d'océanisation) et les marges continentales actives dues à une subduction de la lithosphère océanique sous la lithosphère continentale." de l'ancien continent européen (un bord de mer, en quelque sorte !).

     Sous ces roches sédimentaires"Les roches sédimentaires proviennent de l'accumulation de sédiments qui se déposent le plus souvent en couches ou lits superposés, appelés strates.", se trouve une couche de roches métamorphiques"Le métamorphisme (du grec metá, au-delà, après et morphế, forme) désigne "l'ensemble des transformations subies par une roche (sédimentaire, magmatique ou métamorphique) sous l'effet de modifications des conditions de température, de pression, de la nature des fluides et, parfois, de la composition chimique de la roche. Ces transformations, qui peuvent être minéralogiques, texturales, chimiques ou encore structurales, amènent à une réorganisation des éléments dans la roche et à une recristallisation des minéraux à l'état solide."
Christian Nicollet (2010) « Métamorphisme et géodynamique », Paris, Dunod, coll. « Sciences Sup »,‎ février 2010"
 : les calcschistes et les schistes lustrés, anciens sédiments déposés dans la Téthys ligure ou océan liguro-piémontais, au Jurassique"Le Jurassique (entre -201 et -145 Ma) est une Période géologique du Mésozoïque (anciennement nommé Ère Secondaire) qui doit son nom au Jura où des calcaires caractéristiques ont été trouvés.
Le système jurassique se subdivise en trois séries géologiques :
- Jurassique inférieur ou Lias,
- Jurassique moyen ou Dogger,
- Jurassique supérieur ou Malm."
et au Crétacé"Du latin « cretaceus », « qui contient de la craie », le Crétacé est ainsi nommé en se référant aux vastes dépôts crayeux marins datant de cette époque et que l’on retrouve en grande quantité en Europe, notamment dans le Nord de la France. Le Crétacé (entre -145 et -66 Ma) est la dernière Période du Mésozoïque (anciennement nommé Ère secondaire).". Or les dolomies d’âge triasique (dessus), sont plus anciennes que les schistes lustrés (dessous). (4)

      Ainsi, les dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3), (carbonate de magnésium, MgCO3), …" ont été apportées par une nappe de charriage"Une nappe de charriage est un grand ensemble cohérent de roches, de plusieurs centaines ou milliers de kilomètres cubes, qui, lors d'une orogenèse (formation de montagnes), ont été décollées du socle sur lequel elles reposaient, puis déplacées sur de grandes distances (plusieurs dizaines ou centaines de kilomètres) et enfin déposées par-dessus un autre ensemble rocheux. Les roches charriées sont qualifiées d'allochtones, et les roches non-déplacées, d'autochtones." et déposées sur les roches constitutives du fond de l'océan Téthys ligure (schistes lustrés"Les schistes lustrés se sont formés à partir de sédiments calcaires argileux, non-purs. Déposés au fond de l’océan, ces sédiments ont subi un métamorphisme et comme ils sont riches en paillettes de mica, ils présentent un aspect lustré très caractéristique.
Les schistes lustrés sont d’anciennes formations de type flysch calcaire plus ou moins gréseux déposées sur la marge distale et au pied de la marge européenne, dans le domaine de la transition continent-océan et sur la lithosphère océanique (futures ophiolites). Ces roches ont subi le métamorphisme alpin HP-BT (Haute Pression - Basse Température) (faciès des schistes bleus) vers -60 Ma puis ont été rétromorphosés (rétrométamorphisme) dans le faciès des schistes verts (T<300°C) vers - 39 et -31 Ma.
(RENARD M, LAGABRIELLE Y, MARTIN E, RAFÉLIS M (2018) ; Éléments de Géologie, 16ème édition du Pomerol, Éditions Dunod pp431-439, 601, 605)."
, à la suite d'un rétrocharriage"Dans les Alpes franco-italiennes, un rétrocharriage désigne un charriage vers l'intérieur de l'arc alpin (c'est à dire vers l'EST en Queyras), en sens contraire des charriages principaux qui, eux, se font vers l'extérieur de l'arc (c'est à dire vers l'OUEST en Queyras)." tardif (charriage d'OUEST en EST). Les dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3), (carbonate de magnésium, MgCO3), …" ont été rétrocharriées sur les schistes lustrés"Les schistes lustrés se sont formés à partir de sédiments calcaires argileux, non-purs. Déposés au fond de l’océan, ces sédiments ont subi un métamorphisme et comme ils sont riches en paillettes de mica, ils présentent un aspect lustré très caractéristique.
Les schistes lustrés sont d’anciennes formations de type flysch calcaire plus ou moins gréseux déposées sur la marge distale et au pied de la marge européenne, dans le domaine de la transition continent-océan et sur la lithosphère océanique (futures ophiolites). Ces roches ont subi le métamorphisme alpin HP-BT (Haute Pression - Basse Température) (faciès des schistes bleus) vers -60 Ma puis ont été rétromorphosés (rétrométamorphisme) dans le faciès des schistes verts (T<300°C) vers - 39 et -31 Ma.
(RENARD M, LAGABRIELLE Y, MARTIN E, RAFÉLIS M (2018) ; Éléments de Géologie, 16ème édition du Pomerol, Éditions Dunod pp431-439, 601, 605)."
(4).

      Le lac des Cordes (2 446 m) se trouve ainsi dans un environnement de schistes lustrés. C’est un lac de surcreusement glaciaire"Le creusement érosif dû à la glace laisse une cavité plus profonde que s’il avait été causé par de l’eau liquide : c'est la raison pour laquelle on parle de surcreusement." barré par un verrou rocheux"Un verrou est un ressaut qui marque l'endroit où le glacier a moins profondément affouillé qu'à l'aval et à l'amont. Souvent constitué de roches plus dures, il forme ainsi un point haut où la vallée est plus étroite : c'est un barrage." constitué de basalte"Roche volcanique issus de la fusion partielle des péridotites du manteau, le basalte est un des constituants des ophiolites et de la croûte océanique." métamorphique (prasinites"Maurice GIDON :
Les prasinites sont des roches métamorphiques de teinte vert clair, souvent plus ou moins mouchetées, qui contiennent amphibole et albite mais sont chloritisées.
Elles résultent de la transformation (par recristallisation partielle) d'anciennes roches volcano-sédimentaires, de basaltes épanchés sous la mer ("spilites") ou même de gabbros.
Ce sont les roches communes de la séquence des "ophiolites" (roches de la croûte océanique), où elles appartiennent surtout à la partie supérieure, basaltique."
http://www.geol-alp.com/0_geol_gene/glossaire_roches_crist.html#gloss_prasinite".
). Sa profondeur est d’au moins 10 m. Sur la rive gauche on trouve des traces de l’action des glaciers : roches moutonnées, portant des cannelures et des stries creusées par des blocs que le glacier traînait à sa base. Le lac se comble peu à peu d’alluvions qui gagnent déjà le SUD et l’OUEST du lac. (3) (4)
 

  N°1 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

  N°2 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

  N°3 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

  N°4 Pierre TRICART et Raymond CIRIO (2022)
Sur les sentiers du Briançonnais, découverte de la géologie
Éditions Centre Briançonnais de Géologie Alpine
Page 120

 

  Contexte écologique du lac

      Situé dans la partie NORD-EST du département des Hautes-Alpes, dans la région du Briançonnais, le site où se trouve le lac des Cordes (2 448 m) est établi au niveau des contreforts NORD du massif du Queyras dans un vallon suspendu au-dessus de la vallée de la Cerveyrette (carte). Localisé dans la zone biogéographique des Alpes internes briançonnaises, il est soumis à un climat montagnard de type continental marqué. Il se répartit essentiellement entre les étages de végétation alpin et nival. Entouré de crêtes ébouleuses et de falaises abruptes, il est caractérisé par des lacs, des bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." d'altitude et des éboulis étendus.

      L'espace naturel qui abrite le lac des Cordes est très enclavé au cœur d'un vallon de haute altitude, et ne possède que de peu de connexions avec les vallons voisins par l'intermédiaire des quelques cols et des crêtes ébouleuses.

      Les cinq habitats déterminants que compte cet espace naturel se rapportent à des milieux humides et à des éboulis calcaires :
- les bas-marais cryophiles d'altitude des bords de sources et suintements à Laîche des frimas (Carex frigida), qui apparaissent ponctuellement dans de nombreux secteurs du site,
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les ceintures périlacustres des lacs froids et mares d'altitude à Linaigrette de Scheuchzer (Eriophorum scheuchzeri),
- les tourbières de transition,
- les éboulis calcaires fins, représentés notamment par des formations à Liondent des montagnes (Leontodon montanus) et à Bérardie laineuse (Berardia subacaulis).

      Cinq autres habitats remarquables sont présents. Ils comprennent des marécages et des milieux rocheux :
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." acides,
- les formations végétales des rochers et falaises calcaires,
- les éboulis siliceux alpins,
- les éboulis calcaires alpins.

      Parmi la Flore de ce site, six espèces végétales déterminantes sont présentes.
Quatre sont protégées au niveau national :
- la Laîche bicolore (Carex bicolor), Cypéracée typique des bas-marais arctico-alpins à dépôts d'alluvions fins des bords de ruisseaux froids,
- la Laîche des bourbiers (Carex limosa),
- la Laîche faux Pied-d'oiseau (Carex ornithopoda subsp. ornithopodioides), petite Cypéracée affectionnant les rocailles longuement enneigées de l'étage alpin,
- le Saule à dents courtes (Salix breviserrata).
Une est protégée en région Provence Alpes Côte d'Azur :
- le Jonc arctique (Juncus arcticus).
Une Cypéracée rare dans le département des Hautes Alpes figure également parmi les espèces végétales déterminantes :
- la Linaigrette des Alpes (Trichophorum alpinum).

      Le site compte par ailleurs une espèce remarquable, protégée au niveau national :
- le Scirpe alpin (Trichophorum pumilum), rare Cypéracée circumboréale des bas-marais froids d'altitude.

      Parmi les Mammifères de ce site se trouve :
- le Cerf élaphe (Cervus elaphus).

      Parmi les Oiseaux nicheurs de cet espace naturel se trouvent :
- l'Aigle royal (Aquila chrysaetos),
- le Lagopède alpin (Lagopus mutus), Lagomorphe remarquable menacé et en régression, d'origine arctique, relique de l'époque glaciaire dans les Alpes, où il occupe les reliefs de croupes et de crêtes, fréquemment balayés par le vent (reliefs qui de ce fait sont à la fois déneigés [l'animal y trouve sa nourriture] et enneigés [l'animal peut s'y enfouir pour se protéger]), entre 1 800 et 2 500 m d'altitude,
- le Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax), peu fréquent, inféodé aux alpages (où il se nourrit) situés à proximité de falaises (où il niche),
- le Venturon montagnard (Serinus citrinella), Fringillidé paléo-montagnard remarquable, typique des boisements de conifères semi ouverts,
- la Niverolle alpine (Montifringilla nivalis), Passéridé paléo-montagnard remarquable, caractéristique des pelouses avec escarpements rocheux des étages alpin et subnival des massifs montagneux les plus élevés,
- le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria), espèce rupestre par excellence,
- le Monticole de roche ou Merle de roche (Monticola saxatilis),
- le Bruant fou (Emberiza cia).

      La faune entomologique d'intérêt patrimonial est représentée par des Lépidoptères Rhopalocères (Papillons de jour) :
- l'Azuré de la canneberge (Agriades optilete), espèce remarquable localisée en France dans les Alpes internes et du nord, dans les landes et tourbières à airelles (Vacciinum ssp.),
- l'Apollon (Parnassius apollo), espèce remarquable d'affinité montagnarde, protégée au niveau européen, peuplant les rocailles, les pelouses et les éboulis à Crassulacées et Saxifragacées entre 500 et 2 500 m d'altitude,
- le Petit Apollon (Parnassius corybas sacerdos), espèce remarquable et protégée en France, des bords des torrents et autres zones humides des étages subalpin et alpin, dont la chenille est inféodée au Saxifrage faux-aïzoon (Saxifraga aizoides).

      La fréquentation touristique, très importante en période estivale, du fait de la présence de lacs d'altitude, peut avoir des conséquences directes sur la flore et ses habitats.
Les milieux humides et les bordures péri-lacustres subissent les agressions et nuisances suivantes :
- création de "drailles"Chemin de transhumance" à Humains",
- cueillette,
- piétinement,
- érosion,
- pollution visuelle et sonore liée aux nombreux passages,
- détritus abandonnés sur place.

 (En savoir plus).

      Inventaire de la faune et de la flore: INPN
 

  N°1 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

 

 

Photo n°201607146
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Cordes (2446m).
Vue direction SUD-SUD-OUEST sur :

- le Pic de Rochebrune (3320m), à gauche,
- l'Escalinade (3087m), au centre gauche,
- la Turge de la Suffie (3024m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607154
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD.

Photo n°201607145
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD.

Photo n°201607144
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD.

Photo n°201607140
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction OUEST sur :

- le point 2878, au centre.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607153
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction EST-NORD-EST sur :

- la Crête de Dormillouse.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607152
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction EST sur :

- la Cime de Clausis (3195m), à gauche,
- la Cime de Chabrières (3246m), à gauche,
- le Pic du Vallon Crouzet (2728m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607148
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction EST sur :

- la Cime de Clausis (3195m), à gauche,
- la Cime de Chabrières (3246m), à gauche,
- le Pic du Vallon Crouzet (2728m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607143
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD-OUEST sur :

- le Mont Chaberton (3131m), au loin et à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607142
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD-OUEST sur :

- le point 2878, à gauche,
- le Mont Chaberton (3131m), au loin et à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607147
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Cordes (2446m).
Vue direction SUD-SUD-EST sur :

- le Pic du Vallon Crouzet (2728m), à gauche,
- le Col des Marsailles (2602m), au centre,
- le Pic de Rochebrune (3320m), à droite,
- l'Escalinade (3087m), à l'extrême droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607150
Lac de l'étoile (2532m) au-dessus du lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2532m), au dessus et au NORD-OUEST du lac des Cordes (2446m).
Vue direction OUEST sur :

- le point 2878.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607151
Lac de l'étoile (2532m) au-dessus du lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2532m), au dessus et au NORD-OUEST du lac des Cordes (2446m).
Vue direction SUD-EST sur :

- le Pic du Vallon Crouzet (2728m), à gauche,
- le Pic de Rochebrune (3320m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607149
Lacs de la Madeleine (2488m) au dessus du lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lacs de la Madeleine (2488m), au dessus et au NORD du lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD-NORD-EST sur :

- le Mont Chaberton (3131m), au loin et à gauche.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201607141
Lac des Cordes (2446m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Du point 2533, au-dessus et au NORD des lacs de la Madeleine (2488m) et du lac des Cordes (2446m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST sur :

- le Mont Thabor (3178m), à gauche et au loin,
- le Chenaillet (2650m), au centre gauche,
- le Mont Chaberton (3131m), au centre.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

 

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