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Lac des Béraudes (2504m)

Briançonnais

Hautes-Alpes

 

Latitude  45° 03' 30'' N
Longitude 6° 30' 11'' E
Altitude 2 504 m

Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr



 

Itinéraires d'accès au lac

SUR SENTIER BALISÉ, MONTÉE RAIDE MAIS ASSEZ COURTE

      Le lac des Béraudes (2 504 m) se trouve sur le versant EST de la vallée de la Haute Clarée, au NORD-OUEST de Névache, dans le Briançonnais (Hautes-Alpes) (carte n°1).

      L'accès routier peut se faire en passant par Névache (carte n°2) (D 301T) et en suivant la route sur une dizaine de kilomètres jusqu'au parking de Laval (2 024 m) (accès routier n°1).

      On peut se rendre en voiture au parking de Laval (Hautes-Alpes) depuis Briançon (accès routier n°2), Gap (accès routier n°3) ou Grenoble (accès routier n°4), par exemple. (ATTENTION : circulation réglementée pour les véhicules à moteur, dans la haute vallée de la Clarée, à partir de Névache, en période estivale. [En savoir plus]).

      Voici les itinéraires de randonnée :

  N°1 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©

  N°2 d’après le site communautaire Bivouak.net www.bivouak.net, Copyright ©

 

  Contexte géologique du lac

      Le lac des Béraudes (2 504 m) est un lac de surcreusement glaciaire"Le creusement érosif dû à la glace laisse une cavité plus profonde que s’il avait été causé par de l’eau liquide : c'est la raison pour laquelle on parle de surcreusement.", barré par un verrou"Un verrou est un ressaut qui marque l'endroit où le glacier a moins profondément affouillé qu'à l'aval et à l'amont. Souvent constitué de roches plus dures, il forme ainsi un point haut où la vallée est plus étroite : c'est un barrage." rocheux. (Le creusement érosif dû à la glace laisse une cavité plus profonde [on parle de surcreusement] que s’il avait été causé par de l’eau liquide).

      Lorsqu’un verrou, constitué par des roches plus dures, plus résistantes à l’abrasion, tend à bloquer l’écoulement d’un glacier, la glace qui continue à s’accumuler en amont, creuse, affouille"Du latin fodiculare, « fouir, creuser », affouiller signifie attaquer en creusant et comme en fouillant le sol ou la base d'une roche, en parlant de l'action de l'eau et/ou de la glace.", érode dans les roches les plus tendres. Les débris rocheux dus à l’érosion sont évacués en remontant la pente dans le sens de l’écoulement du glacier. Une dépression se forme dans la zone SUR-creusée : on la nomme OMBILIC GLACIAIRE"L'ombilic pour la zone déprimée, surcreusée, situé en amont du verrou glaciaire. Après le retrait du glacier, cette dépression est généralement occupée par un lac.". Le barrage naturel, qui est à l’origine de la formation de cet ombilic, porte quant à lui le nom de VERROU GLACIAIRE"Un verrou est un ressaut qui marque l'endroit où le glacier a moins profondément affouillé qu'à l'aval et à l'amont. Souvent constitué de roches plus dures, il forme ainsi un point haut où la vallée est plus étroite : c'est un barrage.". Lorsque le glacier fond, un lac occupe l’ombilic avant d’être comblé par des alluvions.

      Dans le cas du lac des Béraudes, l'ombilic est constituée de calcschistes"Schiste métamorphique calcaire, où la calcite CaCO3 est associée à du mica. Avant le métamorphisme, c'était un mélange de calcaire et d'argile." (schistes"La schistosité est la texture feuilletée caractéristique, formée par une succession de plaques très fines, que prennent les roches après avoir subit un métamorphisme." calcaires"Du latin calcarius, « calcaire, chaux », les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3.") ou plus exactement de "marbres en plaquettes"Le terme "Marbres en plaquettes" était traditionnellement employé en Briançonnais pour désigner des calcschistes faiblement métamorphiques, d'âge néocrétacé-éocène (entre -100 et -34 millions d'années)."", c'est-à-dire de calcschistes faiblement métamorphiques"Le métamorphisme (du grec metá, au-delà, après et morphế, forme) désigne "l'ensemble des transformations subies par une roche (sédimentaire, magmatique ou métamorphique) sous l'effet de modifications des conditions de température, de pression, de la nature des fluides et, parfois, de la composition chimique de la roche. Ces transformations, qui peuvent être minéralogiques, texturales, chimiques ou encore structurales, amènent à une réorganisation des éléments dans la roche et à une recristallisation des minéraux à l'état solide."
Christian Nicollet (2010) « Métamorphisme et géodynamique », Paris, Dunod, coll. « Sciences Sup »,‎ février 2010."
, d'âge Néo-Crétacé"Du latin « cretaceus », « qui contient de la craie », le Crétacé est ainsi nommé en se référant aux vastes dépôts crayeux marins datant de cette époque et que l’on retrouve en grande quantité en Europe, notamment dans le Nord de la France. Le Crétacé (entre -145 et -66 Ma) est la dernière Période du Mésozoïque ou Ère secondaire." (entre -100 et -56 millions d’années). La cuvette du lac a été affouillée"Du latin fodiculare, « fouir, creuser », affouiller signifie attaquer en creusant et comme en fouillant le sol ou la base d'une roche, en parlant de l'action de l'eau et/ou de la glace." par un glacier local, aujourd’hui disparu.
Le verrou glaciaire est, quant à lui, constitué de calcaires"Du latin calcarius, « calcaire, chaux », les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3." et de dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …" datant du Trias"Du latin « trias », « nombre de trois », car constitué de trois unités stratigraphiques distinctes (les Trias inférieur, moyen et supérieur), le Trias (entre -252 et -201 millions d'années) est la première Période du Mésozoïque ou Ère secondaire." (entre -252 et -201 millions d'années). Ces roches affleurent en contrebas sur le versant EST (coté Clarée). (1)

      La rive SUD du lac des Béraudes héberge un ensemble de petits glaciers rocheux. (3)

      En outre, on observe, dans le paysage, des roches teintées de rouge. Ce sont des couches marneuses"La marne est une roche sédimentaire, mélange de calcite (CaCO3) et d'argile dans des proportions à peu près équivalentes." rouges de base des marbres en plaquettes (calcschiste planctonique). Elles se retrouvent dans le massif des Cerces tout proche. (1) (2)
 

  N°1 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

  N°2 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

  N°3 Romain PERRIER (2014)
« Suivi local et régional du pergélisol dans le cadre du changement climatique contemporain : Application aux vallées de la Clarée et de l’Ubaye (Alpes du sud, France) »
Thèse de Doctorat de Géographie mention Dynamique des Milieux et risques
Université Paris Denis-Diderot

 

  Contexte écologique du lac

      Logé sur le versant en rive droite de la haute vallée de la Clarée, au NORD-OUEST du village de Névache, dans le NORD du département des Hautes-Alpes, le site naturel qui héberge le lac des Béraudes (2 504 m), est situé dans la zone biogéographique intra-alpine, à la transition entre Alpes du NORD et Alpes du SUD (carte). Cet espace naturel est inclus dans les étages de végétation subalpin, alpin et nival, et culmine à 3 097 m à la pointe des Cerces. Le paysage"Un paysage est une mosaïque d’écosystèmes reliés les uns aux autres, échangeant de l’énergie, de la matière et des organismes." végétal est formée de prairies subalpines, de pelouses alpines sur calcaire ou sur substrat acide décalcifié, de formations des combes à neige à sous-arbrisseaux nains, de rocailles et de pelouses pionnières des débris rocheux ou des dalles calcaires, d'associations végétales des éboulis et milieux rocheux, de sources, de ruisselets, de zones humides, de bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." arctico-alpins, d'habitats lacustres ou de milieux post-glaciaires des vallons froids d'altitude.

      Les trois habitats déterminants que compte le site sont des marécages :
- les bas-marais cryophiles d'altitude des bords de sources et suintements à Laîche des frimas (Carex frigida),
- les bas-marais pionniers arctico-alpins,
- les ceintures péri-lacustres des lacs froids et mares d'altitude à Linaigrette de Scheuchzer (Eriophorum scheuchzeri).

      Onze autres habitats remarquables sont également présents :
- les pelouses calcicoles"Du latin calcarius, "chaux" et de colere, "habiter", une plante calcicole aime les sols calcaires, riches en calcium et n'aime pas les sols siliceux, riches en silice, acides." alpines et subalpines à Séslérie bleutée (Sesleria caerulea) et à Laîche toujours verte (Carex sempervirens), installées sur des sols de surface,
- les landes épineuses oro-méditerranéennes à Astragale toujours verte (Astragalus sempervirens),
- les mégaphorbiaies"Une mégaphorbiaie (du grec mega, grand et phorbē, paturage) est une formation végétale luxuriante, constituée de grandes herbes, de 1,5 m à plus de 2 m de hauteur, se développant sur des sols riches, frais, non-acides et humides." montagnardes et subalpines, formations opulentes de hautes herbes des combes humides et fraîches,
- les prairies de fauche d'altitude,
- les pinèdes de Pin à crochets (Pinus uncinata),
- les saulaies arctico-alpines des bas-marais et bords de ruisseaux à Saule arbrisseau (Salix foetida),
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." acides,
- les éboulis calcaires alpins,
- les formations végétales des rochers et falaises calcaires,
- la végétation des rochers et falaises siliceux.

      Parmi la Flore, dix-huit espèces sont déterminantes.
Cinq sont protégées au niveau national :
- l'Androsace des Alpes (Androsace alpina),
- l'Androsace de Suisse (Androsace helvetica),
- l'Androsace pubescente (Androsace pubescens),
- la Laîche bicolore (Carex bicolor), rare Cypéracée des marécages arctico-alpins froids d'altitude,
- le Saxifrage fausse-mousse (Saxifraga muscoides).
Dix espèces sont protégées en région Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- l'Armoise septentrionale (Artemisia campestris subsp. borealis),
- la Petite utriculaire (Utricularia minor), petite plante carnivore aquatique des mares de tourbières acides,
- la Tozzie des Alpes (Tozzia alpina),
- la Laîche fimbriée (Carex fimbriata),
- le Jonc arctique (Juncus arcticus), plante arctico-alpine rare des marécages et bords de ruisselets,
- le Pâturin vert glauque (Poa glauca),
- la Potentille à divisions nombreuses (Potentilla multifida),
- la Potentille blanche (Potentilla prostrata subsp. floccosa),
- le Saxifrage à deux fleurs (Saxifraga biflora),
- le Saxifrage fausse diapensie (Saxifraga diapensioides).
Trois espèces n'ont pas de statut de protection :
- l'Armoise noirâtre (Artemisia atrata),
- le Silène de Suède (Viscaria alpina),
- la Linaigrette vaginée (Eriophorum vaginatum), Cypéracée des tourbières acides.

      Par ailleurs, cet espace naturel comprend quatre espèces végétales remarquables :
- la Bérardie laineuse (Berardia subacaulis), Astéracée archaïque protégée au niveau national, espèce endémique"L'endémisme, du grec éndêmos, indigène, caractérise la présence naturelle d'un groupe biologique exclusivement dans une région géographique délimitée." des Alpes sud-occidentales typique des éboulis calcaires à éléments fins.
- le Saule pubescent (Salix laggeri), arbuste endémique"L'endémisme, du grec éndêmos, indigène, caractérise la présence naturelle d'un groupe biologique exclusivement dans une région géographique délimitée." des Alpes qui pousse dans les alluvions humides et sur les berges de torrents, où il forme des fourrés ripicoles"Du latin « ripa », « rive », « Qui vit, qui croît sur les rives des eaux courantes ». CNRTL" denses, espèce protégée en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
- le Pissenlit à ligules en capuchon (Taraxacum cucullatum),
- le Génépi noir (Artemisia genipi).

      Parmi les Mammifères de ce site se trouvent :
- le Bouquetin des Alpes (Capra ibex), Ongulé déterminant dont les populations locales sont issues de réintroductions,
- le Mulot alpestre (Apodemus alpicola), espèce déterminante,
- le Lièvre variable (Lepus timidus), Lagomorphe remarquable, relique de l'époque glaciaire, fréquentant des milieux assez variés (alpages, éboulis, landes, forêts, pelouses, champs, cultures, friches) entre 1 200 à 3 100 m d'altitude.

      Parmi les Oiseaux nicheurs de ce site se trouvent :
- le Faucon pèlerin (Falco peregrinus) Falconidé déterminant dont le site abrite probablement l'aire de nidification la plus haute de France,
- l'Aigle royal (Aquila chrysaetos),
- la Perdrix bartavelle (Alectoris graeca), Galliforme méridional de montagne recherchant les versants ouverts et ensoleillés avec des barres rocheuses,
- la Caille des blés (Coturnix coturnix),
- le Tétras lyre (Tetrao tetrix), Galliforme remarquable, emblématique des Alpes,
- le Lagopède alpin (Lagopus mutus), Galliforme remarquable menacé, d'origine arctique, relique de l'époque glaciaire dans les Alpes, où il occupe les reliefs de croupes et de crêtes, fréquemment balayés par le vent (reliefs qui de ce fait sont à la fois déneigés [l'animal y trouve sa nourriture] et enneigés [l'animal peut s'y enfouir pour se protéger]), entre 1 800 et 2 500 m d'altitude,
- le Pic noir (Dryocopus martius),
- le Cincle plongeur (Cinclus cinclus),
- le Monticole de roche (Monticola saxatilis),
- le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria), espèce paléomontagnarde remarquable et relativement rare, recherchant les gorges et escarpements rocheux,
- la Pie grièche écorcheur (Lanius collurio),
- le Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax), peu fréquent, inféodé aux alpages (où il se nourrit) situés à proximité de falaises (où il niche),
- le Tarin des aulnes (Carduelis spinus),
- le Venturon montagnard (Carduelis citrinella), nicheur localisé des forêts d'altitude,
- la Niverolle alpine (Montifringilla nivalis), Passereau paléomontagnard remarquable, caractéristique des pelouses avec escarpements rocheux des étages alpin et subnival des massifs montagneux les plus élevés,
- le Bruant fou (Emberiza cia).

      Les reptiles sont représentés par le Lézard vivipare (Zootoca vivipara), espèce remarquable, typiquement nord eurasiatique, relique de l'époque glaciaire, en limite sud de son aire de répartition dans les Alpes, liée aux pelouses, prairies et landes humides, tourbières et bords de ruisseaux.

      Les poissons d'eau douce sont représentés par l'Omble chevalier (Salvelinus alpinus), espèce remarquable, sensible à la pollution, autochtone des lacs Léman et du Bourget, introduite à la fin du XIXème siècle dans certains lacs d'altitude du Haut Dauphiné, typique des lacs profonds et froids aux eaux propres bien oxygénées et aux fonds graveleux.

      La faune entomologique d'intérêt patrimonial est représentée par des Lépidoptères Rhopalocères (« papillons de jour ») :
- l'Azuré du Serpolet (Maculinea arion), espèce remarquable et protégée au niveau européen, inféodée aux bois clairs et ensoleillés, aux pelouses et aux friches sèches avec présence de ses plantes hôtes, des Serpolets (pour sa chenille) et de sa principale fourmi hôte, Myrmica sabuleti (pour sa larve), jusqu'à 2400 m d'altitude,
- l'Apollon (Parnassius apollo), espèce remarquable d'affinité montagnarde, protégée au niveau européen, peuplant les rocailles, pelouses et éboulis à Crassulacées et Saxifragacées entre 500 et 2 500 m d'altitude,
- le Petit Apollon (Parnassius corybas sacerdos), espèce remarquable et protégée en France, des bords des torrents et autres zones humides des étages subalpin et alpin, dont la chenille est inféodée au Saxifrage faux-aïzoon (Saxifraga aizoides).

(En savoir plus).

      Inventaire de la faune et de la flore: INPN
 

  N°1 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

 

 

Photo n°202007077
Lac des Béraudes (2504m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Béraudes (2504m).
Vue direction OUEST-SUD-OUEST sur :

- le point 2903, sur la gauche,
- le Pic de la Moulinière (3073m), au centre gauche,
- la Crête de Moutouze, à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°202007083
Lac des Béraudes (2504m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Béraudes (2504m).
Vue direction EST-NORD-EST sur :

- le Pic du Lac Blanc (2980m), au centre au fond,
- la Pointe des Béraudes, sur la droite au-dessus du lac,
- un ensemble de petits glaciers rocheux, sur la droite, juste au-dessus du lac.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°202007082
Lac des Béraudes (2504m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Béraudes (2504m).
Vue direction NORD-EST sur :

- des couches marneuses rouges, à l'extrême gauche,
- le Pic du Thabor (3207m), à gauche au fond,
- le Mont Thabor (3178m), à gauche au fond,
- le Pic du Lac Blanc (2980m), à droite au fond,
- la Pointe des Béraudes, à l’extrême droite au-dessus du lac,
- un ensemble de petits glaciers rocheux, sur la droite, juste au-dessus du lac.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°202107039
Lac des Béraudes (2504m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Emplacements du lac Rouge (2585m) et du lac des Béraudes (2504m) depuis la Cote du Jas en montant au lac de la Cula.
Vue sur :

- la Tête de la Cassille (3069m), à gauche,
- la Chandelle du Lac Rouge (2757m), au centre gauche,
- le Pic de la Moulinière (3073m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°202107043
Lac des Béraudes (2504m) (Briançonnais, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Emplacements du lac Rouge (2585m) et du lac des Béraudes (2504m) depuis la Cote du Jas en montant au lac de la Cula.
Vue sur :

- la Chandelle du Lac Rouge (2757m), sur la gauche,
- le Pic de la Moulinière (3073m), sur la droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

 

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